Investissement aperçu

Le GrowCongo!

Investissez dans l’agriculture.

Les chaines de valeur du mais et du soja

Afin de soutenir le secteur de l’élevage, les chaînes de valeur du mais et du soja doivent être développées. De nombreux opérateurs économiques ont exprimé leur volonté de s’engager dans la culture mécanisée du maïs et du soja, afin d’alimenter les principales industries agro-alimentaires. En savoir plus sur les actions à entreprendre et les résultats attendus.

De developpement des filières de l’élevage

La République du Congo possède 10 millions d’hectares de terres arables, dont environ 2% sont exploités, à ce titre, elle offre de nombreuses opportunités pour développer énormément le secteur de l’élevage. Pour en savoir plus sur les opportunités et les résultats attendus.

La chaine de valeur de poisson d’eau douce

La pêche occupe une grande importance dans l’économie congolaise avec une contribution au Produit Intérieur Brut (PIB) estimée à 30 milliards de FCFA. Par conséquent, le gouvernement du Congo-Brazzaville envisage de transformer la chaîne de valeur des poissons d’eau douce. Pour en savoir plus sur les objectifs et les résultats attendus.

La chaine de valeur de l’anacardier

La République du Congo, dispose des conditions idéales pour le développement de l’anacardier. Les opérateurs privés se sont lancés dans la culture de l’anacardier avec des résultats encourageants. Le projet en cours vise à intégrer l’agroforesterie avec la culture de l’anacardier. En savoir plus sur les actions à entreprendre et les résultats attendus.

Les nouveaux villages agricoles

Le gouvernement du Congo a lancé, dans le cadre de son programme national de développement, diverses activités de développement agricole telles que la création des deux nouveaux villages agricoles et qui produisent des œufs de table, des poulets de chair et des légumes. Le gouvernement vise à diffuser cette expérience à travers le pays. En savoir plus sur les opportunités et les résultats attendus.

De la mécanisation agricole

Il est très difficile d’imaginer actuellement un secteur agricole performant sans développement de la mécanisation. C’est pourquoi le projet porte sur le développement  des exploitations agricoles intensives à vocation commerciale, bénéficiant d’un accès accru à la mécanisation développée par le secteur privé avec la facilitation de l’Etat. En savoir plus sur les opportunités et les résultats attendus.

Une Banque pour le financement de l’Agriculture

La République du Congo cherche à promouvoir le développement agricole en créant des mécanismes de financement adaptés aux spécificités du secteur agricole. La création de la Banque de financement de l’agriculture vise à accélérer l’autopromotion économique et sociale de tous les acteurs ruraux et acteurs des filières agricoles. En savoir plus sur les opportunités et les résultats attendus.

Les chaines de valeur du café et du cacao

Le café et cacao connaissent un regain d’intérêt sur le marché mondial et constituent une source d’entrée de devises pour les pays qui ont développé leur culture. Le Congo-Brazzaville a l’ambition de s’orienter vers une agriculture climato-intelligente, en associant l’agroforesterie avec la culture du cacao en zone de savane. En savoir plus sur les opportunités et les résultats attendus.

Le chaine de valeur du manioc

Le manioc est l’aliment de base de plus de 90% des Congolais. Sa culture mobilise la quasi-totalité des actifs agricoles, d’abord pour l’autoconsommation, puis comme source de revenus garantis pour les ménages ruraux.   La production du manioc couvre, certes, les besoins nationaux, mais la professionnalisation des acteurs invite à développer sa chaîne de valeur. En savoir plus sur les opportunités et les résultats attendus.

La chaine de valeur de la banana et du plantain

La production de la banane et particulièrement du plantain, au Congo, se place au deuxième rang comme aliment de base après le manioc. La consommation est estimée à 150kg/personne/an et représente 60% de banane et 40% de plantain. Toutefois cette production, estimée à 80 000 tonnes/an, ne satisfait pas la demande nationale à cause des rendements assez faibles de 4t/ha/an.